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Depuis 40 ans

AGIRabcd, association de retraités bénévoles accompagne les populations en difficulté. 
Association Générale des Intervenants Retraités pour les Actions de Bénévoles pour la Coopération et le Développement

 

 

 


 

 

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Pour nous rejoindre :

 

 

Au siège de l'association

Une adresse : 18-26 rue Goubet 75019 PARIS (métro OURCQ sur la ligne 5)

Un mail : agirabcd@agirabcd.org

Un téléphone : 01 47 70 18 90

 

ou dans une de nos délégations

 

 

 

       

 

 

 

 

 

Les actualités d'AGIRabcd

 

 

Le Markethon c’est quoi ?

 

Le Markethon est né en 1992, d’une réflexion d’un universitaire - Didier Reter - qui en a confié la gestion à l’association AGIRabcd. En Occitanie, AGIRabcd est co-autrice avec l’association COMIDER (Comité pour le développement de l’économie régionale) pour sa mise en œuvre dans l’Aude.

 

 

C’est une démarche collective, active et originale de recherche d’emploi. Le Markethon se déroule sur une journée, durant laquelle des demandeurs d’emploi rencontrent des entreprises sensibilisées. Le but est de détecter les emplois cachés, actuels et futurs.
Il s'agit de constituer des équipes de deux ou trois demandeurs d’emploi qui vont ensemble prospecter les entreprises, l’objectif étant la reprise de confiance dans leurs capacités à être reçus et écoutés, et la découverte du tissu économique local. Et peut-être décrocher un emploi !

 

Quels sont les avantages du Markethon ?
• Animer une action collective auprès des jeunes demandeurs d’emploi.
• Lier des partenariats avec des acteurs locaux sur le thème de l’emploi.
• Promouvoir le savoir-faire de notre association, améliorer son image et consolider son ancrage local.

Rémy Ashouri

 

 

 

 

Markethon

Markethon à Lézignan. Photo Jean Claude Perramont

 


 

 

TOGO


Pourquoi avancer seul quand on peut le faire ensemble ? Grâce à une méthodologie basée sur le partage d’expériences et de bonnes pratiques, deux équipes d'AGIRabcd séparées de 500 kilomètres s’apprêtent à démarrer leurs projets de création d’écoles au Togo.

 

Dans deux villages (respectivement à Katcha Konkomba région de la Kara et Kossicopé région des Plateaux, les enfants étudient dans des écoles de fortune, des « apatam » constructions légères courantes en Afrique de l’Ouest, faites de poteaux soutenant un toit végétal, régulièrement dégradés par les vents, les pluies torrentielles, et les fortes chaleurs.


L’idée de permettre à ces enfants d’étudier dans de bonnes conditions est née d’une rencontre avec le représentant du pays du Togo, deux associations locales et des bénévoles d'AGIRabcd.

Le projet prend corps avec la construction d’un bâtiment en dur, son électrification et la création de sanitaires.

 

Il poursuit les objectifs de développement durable préconisés par l’ONU : améliorer les conditions d’éducation des enfants de ces villages en préservant l’environnement grâce à la mise en place de panneaux solaires, tout en renforçant l’égalité entre les sexes et la santé avec l’installation de sanitaires.

inès Maillard

 

 

 

 

 

Ecole_Togo

Les écoles actuelles en « apatam » - Photo André Muller

 


Justice des mineurs : un accompagnement
avec l’espoir d’une insertion

 

AGIRabcd et la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ont un partenariat de longue date. La délégation du Var est très active dans cette action.

 

 

Impliquée auprès de la Protection judiciaire de la jeunesse depuis plus de dix ans, la délégation du Var est une des rares à maintenir ce partenariat.

 

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Le Centre éducatif fermé (CEF) de Brignoles. Photo B. Chabuel

Une dizaine de bénévoles assurent les interventions auprès des jeunes à travers des ateliers collectifs ou des accompagnements individualisés. Ils ont tous bénéficié d’une formation assurée par la préfecture sur la citoyenneté, les valeurs de la République et la laïcité. L’équipe est actuellement renforcée par deux bénévoles du services civiques.

 

L’accompagnement individuel en milieu ouvert obtient les meilleurs résultats. Dans ce cas de figure, les jeunes, hébergés par la PJJ ou confiés à des familles d'accueil, bénéficient d’un suivi renforcé quotidien, sauf le mercredi.


Un jeune âgé de 16 ans, ayant intégré le milieu ouvert après un temps d’incarcération, bénéficie d’un accompagnement individuel quotidien. Accompagné par deux bénévoles, il prépare les épreuves devant le conduire à l’obtention d’un CAP général. 
Une fierté pour ce jeune et les bénévoles impliqués ! Malgré les ruptures familiales et sociales, l’espoir d’une insertion demeure.

 

La Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) est une direction relevant du ministère de la Justice. Elle est chargée de l’ensemble des questions relatives à la justice des mineurs, notamment de la mise en œuvre des mesures éducatives.

 

 

 

                                           

 
Dernière modification : 01/11/2024

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